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Je me mets à l’autopartage
En quelques mots !

Une voiture en autopartage remplace 5 à 8 voitures personnelles  

Les transports sont la plus grande source d’émission de CO2 en France

L’autopartage c’est bon la planète mais aussi pour son portefeuille

Réduire considérablement les dépenses liées à la voiture

L’autopartage : quezako ? Un peu dans la même optique que le covoiturage (dont l’article est disponible en suivant ce lien), l’autopartage permet de mutualiser les véhicules individuels. A la seule différence que les voitures n’appartiennent non pas à des particuliers partageant leurs trajets avec d’autres individus, mais à une société qui les laisse en libre-service un peu partout en ville à des abonnés.

​Tout comme le covoiturage, l’autopartage permet de réduire considérablement les dépenses liées à la voiture (notamment les frais d’assurance et d’entretien), permet de ne pas s’encombrer avec un véhicule que l’on n’utilise qu’occasionnellement, mais de quand même y avoir accès lorsqu’on en a besoin. Et, cerise sur le gâteau, l’autopartage est beaucoup plus flexible que le covoiturage, puisque les trajets sont totalement personnalisables et ne sont pas dépendants de ceux d’autres utilisateurs ; et enfin, chaque voiture possède une place attitrée ce qui représente aussi un gain de temps.

En plus de ces avantages individuels s’ajoutent évidemment les mêmes effets positifs que le covoiturage pour la planète, et – quand on sait qu’à Paris, 30% des véhicules qui circulent sont juste en train de chercher une place – un grand pas pour le bien commun par le désengorgement des villes.

Préférer l’usage à la propriété

Habitant en ville, mon père n’utilisait que peu sa voiture qui commençait d’ailleurs à se faire vieille (20 ans) puisque c’était sa première, et ce fut aussi sa dernière. Quant à ma mère, elle n’en a jamais eu. Ils faisaient tout à vélo, ou en transports en commun. Cependant, étant séparés, tous les dimanche soirs, avec mon frère nous changions de domicile. Nous ne pouvions pas prendre nos vélos car nous étions très chargés, quant aux transports en commun, il fallait prendre deux trams différents, et ils étaient tellement mal desservis à cette heure-là qu’on pouvait aller plus vite à pied. Mes parents faisaient donc l’aller-retour avec une voiture d’autopartage située pas loin de chez eux, ce qui aurait été compliqué en covoiturage.

Et pour finir, chose improbable, grâce à l’autopartage, j’ai pu faire la conduite accompagnée sans que mes parents ne possèdent de voiture ! Ce qui m’a sauvé la mise, parce que de nos jours, passer le permis sans n’avoir jamais conduit en dehors des leçons d’auto-école n’est pas une mince affaire (oui, ça sent le vécu).

L'auteur :  Juliette Lempereur

Juliette a 18 ans et vit à Grenoble.

Juliette a 18 ans et vit à Grenoble.

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